Plus que la détention passée de parts dans une société offshore de son père, c’est le fait de l’avoir contesté avant de le reconnaître qui lui est reproché. En cette période de populisme ambiant, cette révélation et cette reconnaissance porteraient atteinte à la crédibilité de la campagne référendaire. L’amalgame est alors total quand le lien est fait avec la position des milieux économiques et financiers pour le maintien dans l’Europe. L’opprobre est jeté sur tout ce « monde » et ses opérateurs… !
Il s’agit d’un terrorisme aux couleurs locales comme Boko Haram, ou importé par Al Quaïda ou l’Etat islamique…
A l’est, les Shebabs somaliens ont fait la démonstration de leur puissance en attaquant le palais présidentiel somalien. Ils maintiennent dans le pays et la région une insécurité permanente qui se manifeste sur terre comme sur mer. Cette corne de l’Afrique est également déstabilisée par la guerre au Yémen engagée contre Al Quaïda.
Au centre du Continent, le Mali. Déjà menacé par les autonomistes Touaregs, les djihadistes d’Al-Qaïda au Maghreb Islamique (AQMI) et d’al-Mourabitoune de Mokhtar Belmokhtar, le Mali est également confronté au radicalisme peul du Front de libération du Macina (FLM). Ce groupe armé est composé d’anciens du Mouvement pour l’unité et le djihad en Afrique de l’Ouest (MUJAO) et d’éléments d’Ansar Dine.
La concurrence entre les différents groupes terroristes s’explique notamment par l’objectif de contrôler les routes de la drogue, des cigarettes, de l’ivoire, de rhinocéros, de tous les trafics et le partage de ses gains. Des petits avions se posent régulièrement au centre du pays. La valeur de la cocaïne ayant transité en dix ans dans le désert aurait atteint les 15 Mds$, et entrainerait un péage de transit de 10%. Avec 1,5 Md$, l’enjeu est de taille !
Mercredi 13 janvier, le collège des commissaires européens a examiné pour la première fois les principaux sujets de la négociation. Ils sont nombreux :
• La baisse, voire la très forte baisse envisagée des droits de douane commence à susciter de nombreuses oppositions.
• Accorder ou non à la Chine le statut d’« économie marchande ». En 2001, les aides diverses et variées aux entreprises avait justifié de considérer l’économie chinoise non marchande. La question est aujourd’hui de savoir si la situation a suffisamment changé pour modifier la conclusion de 2001.
• Cette analyse avait conduit à la mise au point dans le protocole d’adhésion de procédures anti-dumping.
Source : http://ambisrael.fr/ – Israelvalley
La Journée internationale des droits de la Femme est célébrée le 8 mars de chaque année dans le monde entier. A cette occasion, l’Institut israélien de la Statistique publie un bilan sur la situation des femmes dans la société israélienne en 2011. Les femmes sont toujours majoritaires en Israël, même si l’écart avec la population masculine tend à se réduire: parmi la population israélienne de plus de 15 ans, on compte 2,79 millions de femme contre 2,65 millions d’hommes. Si dans certains domaines de la vie économique et sociale, la femme affirme sa supériorité sur l’homme, les réussites individuelles ne doivent pas cacher les inégalités de chances entre les sexes.
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Depuis le Nouvel An juif, en septembre 2015 jusqu’à ce jour, 33 israéliens ont été tués et 322 blessés, dont une trentaine sont toujours dans un état grave.
Cette étude dirigée par Hirsh Goodman et Yossi Kupervasser révèle, documents inédits et vidéos à l’appui, que « la guerre des couteaux » fait partie d’une stratégie minutieusement planifiée par la direction palestinienne et principalement par le Fatah.
Bien que les auteurs de ces attentats sauvages soient de jeunes Palestiniens agissant généralement seuls, ils ont été motivés et encouragés par la haine qui est véhiculée quotidiennement par les réseaux sociaux et les médias arabes.
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Le 28 janvier 2016, le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a adressé un curieux et inquiétant ultimatum au gouvernement israélien.
Dans un communiqué publié après une rencontre avec le chef de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, il explique que si les efforts de la France ne réussissent pas à sortir les négociations de paix entre Israéliens et Palestiniens de l’impasse, eh bien, la France prendra ses responsabilités en tant que membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU et reconnaîtra l’Etat palestinien.
Cet ultimatum curieux, sans précédent dans les annales de la diplomatie, est bien loin d’être amical. Il soulève des questions juridiques et diplomatiques concernant la position de la France, dans le contexte du processus de paix israélo-arabe, mais aussi sur ses “responsabilités” en tant que membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU.
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