Le mois d’Av
Tou BeAv : des signes étonnants pour la force de la joie et de l’ amour .
Sortis de la période des 3 semaines ( 17 Tamouz – 9 Av ) appelées Bein Hametssarim , les étroits défilés), nous continuons à arpenter le mois d’Av : ce soir , ce sera le 15, une des journées les plus fastes que le peuple juif ait connue (1) (**) ‘
Les 3 semaines, sont le modèle parfait de notre perception du monde et de notre manière de vivre.
Vue de l’extérieur, cette période est « triste », évocatrice de deuil, de destruction, de souffrance et d’exil.
Mais combien sont étonnants les signes qui accompagnent et suivent cette période : ils évoquent, tous, des notions bonnes, joyeuses, constructives et jusqu’à la délivrance elle-même !
Menusa, d’origine américaine, appartient à la petite communauté des hébreux africains israéliens.
Elle est aujourd’hui soldate de Tsahal. Jusqu’à aujourd’hui, la communauté célèbre sa venue en Israël comme ayant été un moment décisif de son histoire. “Nous célébrons les fêtes juives et les fêtes de notre communauté”, précise Menusa. “Nous observons Pessah de notre propre façon : en marquant notre “exode” depuis les États-Unis. Pour nous, cette fête marque notre traversée vers Israël.” Lumière sur une petite communauté supportrice de Tsahal.
“J’ai grandi dans la communauté des Hébreux Israélites Africains de Dimona”, explique Menusa Ben Israël. Créée dans les années 1960 aux États-Unis, cette communauté s’associe à l’histoire du peuple juif et se déclare descendante des tribus d’Israël. Ses membres décident d’émigrer et arrivent en Israël à partir de 1969. Avec le temps, ils ont reçu des permis de résidence permanents et certains ont reçu la nationalité. Près de 3000 membres de cette communauté vivent aujourd’hui dans trois centres principaux : Arad, Mitzpe Ramon et Dimona. “J’ai grandi dans la communauté des Hébreux Israélites Africains de Dimona. Jusqu’à ma terminale, j’allais au lycée de la communauté avec les mêmes amis et les seules personnes que je connaissais étaient de la maison”, raconte t-elle.
Menusa
“Cette semaine, nous nous assiérons tous autour de la table du Seder, certains d’entre nous à la maison avec nos familles, certains dans les bases de Tsahal et d’autres sur le terrain, protégeant le peuple d’Israël pour que nous puissions célébrer la fête de la Liberté en paix”. Voici les mots du général de brigade Rafi Peretz, Rabbin Militaire Général de Tsahal, qui a souhaité partager ses pensées pour la fête de Pessah.
Il y a 3326 ans, notre nation célébrait sa miraculeuse délivrance de l’esclavage d’Égypte, un événement qui a marqué le début de l’exode vers la terre d’Israël. Le voyage a été long et difficile, composé de hauts et de bas, mais au final, une nation toute entière marchait vers la liberté.
Il y a ceux qui voient l’exode d’Égypte comme beaucoup plus que le salut d’un peuple des mains de cruels oppresseurs. Cet événement est un message d’espoir dont les échos ont traversé le monde car pour la première fois dans l’histoire, l’idée de vivre en tant que peuple libre sur notre terre était devenue possible.
À la mémoire de mon épouse Matilda
La Méguila – le Rouleau – d’Esther est un livre majeur pour la conscience juive. Et pour sa foi. Nous le lisons et récitons avec une rare ferveur le 14 Adar en nous disant, cette année comme l’an dernier : quand donc chasseront-ils de leur tête l’idée de nous détruire et d’effacer Israël ?
La force de ce Rouleau qui rapporte une histoire aux couleurs de légende est d’être devenu un mythe, c’est-à-dire une vérité supérieure, une leçon universelle.
Esther est le mythe de la reine salvatrice, elle se situe à l’empyrée des héroïnes nationales. Pourtant bien réels semblent avoir été les personnages d’Esther et de Mardochée, puisque leur tombeau se trouve toujours en Iran et que ce pays a décidé, contre toute attente, de classer les deux mausolées comme « trésors nationaux » – ce qui nous permet, encore et toujours, d’espérer une prochaine réconciliation entre la belle et admirable Perse – que nous chérissons dans notre cœur depuis le temps de Cyrus le Grand – et le pays d’Israël. | ![]() |
Nous pouvons croire, en effet, qu’il existe bien sous le tombeau de nos héros perses un tunnel qui mène directement à Jérusalem.
Quelque 500.000 personnes ont participé aux slihot qui se sont déroulées au Kotel cette année (2013), a déclaré le rabbin du Mur occidental Shmuel Rabinowitz.
Et des milliers d’autres sont arrivées jeudi soir pour la prière de slihot finale avant Yom Kippour. Etaient présents (entre autres) les Grands Rabbins d’Israel David Lau et Yitzhak Yosef a déclaré le rabbin du Mur occidental Shmuel Rabinowitz .
חטאנו לפניך רחם עלינו – סליחות בכותל
Fais-toi un Rav et respecte les autres ! – un cours du Rav Chlomo Aviner (Traduit et adapté par Maïmon Retbi)
Question – J’y perds mon latin. Il y a tant de rabbins et tant de méthodes d’approche que je n’y comprends plus rien. Pourquoi ne s’unissent-ils pas pour constituer un nouveau « Sanhédrin » (l’autorité juridique suprême d’Israël, depuis Moïse jusqu’après la destruction du second temple) ? Pourquoi ne suivent-ils pas l’opinion des chefs spirituels de leur génération ?
Réponse – Question bien douloureuse, je l’avoue. Pour ce qui est du « Sanhédrin », tout d’abord, notre Maître, le Rav Kook, enseignait que pour le créer il fallait des personnalités d’une envergure introuvable, à cette époque (« Iguérot Haréiya » 1, 341) ; et, a fortiori, à la nôtre, intellectuellement si indigente ! Il créa donc le « Grand Rabbinat d’Israël », prélude à cette noble institution (ibid. 2, pages 59-70 ; « Maamaré Haréiya », 455).
Si, comme vous le laissez entendre, vous aspirez à « l’unité », donnez plus de crédit au Grand Rabbinat et ne dites pas que vous ne le reconnaîtrez qu’à condition qu’il reflète exactement vos positions ; sinon vous n’auriez rien compris à ce qu’on entend par ce grand concept (cf. Traité « Rosh Hashana » 25 b). Le Grand Rabbinat d’Israël annonce donc cette unité tant attendue mais, ne nous leurrons pas, ce n’est pour demain la veille. Ainsi, en l’absence du Sanhédrin, on doit se conformer à l’opinion des grands Sages de sa génération qui, pour l’instant, en tient lieu (« Séfer Ha’hinoukh », Commandement 495), idée que prônaient déjà les Tossaphistes (sur Traité « Baba Kama » 41 b).
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En ce jour de commémoration du souvenir de ceux qui ont donne leurs vies pour que nous puissions vivre normalement et en toute sécurité dans notre cher pays, mes pensées les plus fortes et les les plus émouvantes sont pour Pascal Abrahami zal si proche de nous et dont les parents sont plus que des amis ,unefamille proche par des racines communes bien sur sans oublier tous les autres héros tous ceux qui ont donne leurs vies pour Israel |
Pascal Abrahami était déjà une légende durant sa vie et non pas seulement après sa mort. Il a consacre toute sa vie a la défense d’Israël’. Ce sont les paroles prononcées par notre président Shimon Peres lors de la cérémonie de remise d’un diplôme de distinction a la famille du cher et regretté héros Pascal Abrahami mort lors d’un combat en aout 2011 a la frontière égyptienne
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